"Ça, c’est moi..." suivi d’une description à la première personne du personnage en voix off puis d’une personne de son entourage sur un montage dynamique. "Il faut que je te dise quelque chose..." "Oh ! Pendant que j’y pense (anecdote futile) bon tu voulais me dire quelque chose ?" "Non non c’est rien, t’inquiète pas." "Je fonds !" "Je vous laisse ma carte, si vous vous souvenez de quelque chose, appelez-moi..." "John n’existe plus, dorénavant appelez moi..." "Mange, tu va avoir besoin de forces." "Oh regardez là !" mais en fait il n’y a rien c’est une astuce pour s’enfuir pendant que les gens regardent. "Si vous recevez ce message, c’est que..." "Suivez cette voiture !" "Vous aviez promis de me libérer si j’obéissais !" "J’ai menti." À la fin ils s’embrassent avec une musique romantique... Au moment du tir fatal, le chargeur est à court de munitions. Au réveil, il ne reste qu’un message indiquant pourquoi l’autre personne a dû partir. Bagarre de saloon. Ça ne marche plus dans le couple, scène où l’on voit l’un s’endormir et l’autre qui reste les yeux ouverts au premier plan. Ça va tellement bien que le personnage quitte son job et va enfin parler à la fille qu’il convoite. Ça va tellement mal qu’une voiture éclabousse en passant le pantalon de la personne. Conversation tendue pendant une séance de dédicace. Conversation vidéo entre un astronaute et sa famille. Couple en crise, ils jettent des valises et des pianos par la fenêtre. Course poursuite dans un lieu public, le héros est stoppé et s’apprête à tirer sur le fuyard à travers la foule mais relève son arme, le laissant s’échapper. Dans le couloir du lycée remplis de casiers, le souffre-douleur se fait harceler par les beaux gosses sportifs. Dans les couloirs d’une institution, quelqu’un d’important discute avec ses subordonnés en marchant vite. Dans une bibliothèque universitaire, le protagoniste refuse de sortir s’amuser avec ses amis. De dos ça a l’air d’être la personne recherchée mais elle se retourne et non pas du tout. Découverte de son super-pouvoir par le personnage qui le détient. Dernier soubresaut après la fausse fin. Des personnages sont réunis dans une boîte de nuit et essayent de parler mais le son est beaucoup trop fort. Des scientifiques isolés sont les premiers à détecter une menace cataclysmique. Deux personnages se bousculent dans la rue et s’embrouillent un peu, ils seront amenés à se revoir par hasard dans une situation où ils devront sympathiser. Deux personnes censées se détester ou d’un milieu social différent ou d’une orientation sexuelle qui semble les opposer finissent par s’embrasser. Discussion de couple devant la porte le premier soir. Dispute dans l’ascenseur. la porte s’ouvre, et les personnages font comme si de rien n’était. Dispute familiale sur fond de bouilloire sifflante. Duel mexicain (dans lequel chacun pointe son fusil sur une autre personne). En fait les héros avaient le trésor en leur possession depuis le début. Enchaînement de plans d’essayages de costumes devant la cabine. Entraînement intensif en musique. Est-ce que quelqu’un dans la salle s’oppose à cette union ? Eh oui, la personne qui débarque à ce moment-là. Gros plan d’un animal familier non-humain dans une situation menaçante pour les humains. Il faut s’enfuir mais la voiture refuse de démarrer. Il faut sortir du véhicule en équilibre au dessus du ravin. Ils jouent aux échecs en discutant, la scène se finit par un mat. Ils vont presque s’embrasser mais sont interrompus. Intervention divine avec rayons de lumière dans le ciel et voix lointaine. Junior est dans sa chambre, il a peur. Dans la pénombre, ses jouets prennent un air menaçant. Junior fouille dans le tiroir-photo et découvre que son papa était, à son âge, dans une situation similaire. Junior joue avec son équipe, c’est le jour du match important, sa mère est dans le public mais le père ne viendra pas... Junior prend son petit-déjeuner. "Comment veux-tu tes œufs ?". L’arrivée à un motel américain paumé dont certaines lettres de l’enseigne clignotent. L’arrosage automatique se lance tandis que le héros est dans le jardin. L’ascenseur tombe en panne au pire moment. L’incarnation du mal est représentée par un œil. L’inspecteur explique tout et finit par dénoncer le coupable. L’ordinateur dit "accès refusé". L’un des personnages découvre un objet inquiétant dans les tiroirs pendant que l’hôte avec qui il vient de passer une nuit est parti prendre une douche. La caméra filme un couple dans un lit, à la verticale depuis le plafond. Ils soufflent, l’air satisfait. La conférence de presse s’est très bien passée mais au dernier moment un évènement catastrophique vient tout compromettre. La femme fatale fait un tour de chant au cabaret et va frôler les clients. La fille considérée comme banale devient une bombe en changeant un détail dans son apparence. La friandise reste bloquée dans le distributeur automatique : le destin s’acharne sur le pauvre protagoniste. La même nouvelle est annoncée par des présentateurs du monde entier dans des langues différentes. La mère regarde Junior avec un air attendri s’entraîner avec son père dans le jardin. La scène pendant laquelle on entend en voix off un récapitulatif des conseils ou prophéties qui ont été donnés au personnage au cours du film. La voiture est à l’arrêt et le piéton essaye de la rattraper mais au moment où il arrive à son niveau elle accélère et recommence. Le commissaire, qui ne supporte plus les deux héros, réquisitionne leurs badges. Le criminel raccroche à peu près au moment où il va être localisé. Le facteur, ou un enfant à vélo, lance le journal dans le jardin et le chien aboie, heureusement la laisse est pile trop courte. Le flingue est en fait un briquet ou un jouet avec un drapeau. Le héros dit à ses amis qu’il doit accomplir cette ultime quête seul. Ses amis insistent pour l’accompagner. Le héros épargne le méchant. Le héros est dans une situation critique mais fait quand même une blague bien trouvée. Le héros est ralenti par un gros obstacle qui lui coupe le trajet, un panier d’oranges est renversé. Le héros ne veut plus être un héros mais le second rôle le convainc de revenir en quelques minutes. Le méchant fait mine de laisser tomber mais attrape une arme. Le héros dégaine plus vite et tire. Le méchant, s’apprêtant à tuer le héros, commence par lui expliquer tous les secrets de son plan. Le personnage se réveille en sursaut. Ce n’était qu’un mauvais rêve. Le plan devient large et on entend un cri de rapace. Le radeau fonce vers une cascade. Le spectacle n’a toujours pas commencé et le public s’impatiente. Le téléphone sonne juste avant une révélation potentielle. Le train démarre, la personne a quai court un peu après le train et celle dans le train se penche à la vitre. Le véhicule saute au dessus du ravin. Lendemain de fête, on se réveille difficilement au milieu des sous-vêtements, vomis et inconnus qui traînent ça et là. Les noms de toutes les personnes qui ont travaillé sur le film sont écrits sur une liste déroulante. Les personnages prononcent les même répliques en même temps : "J’ai quelque chose à te dire." "Vas-y." "Non, toi d’abord.". Les personnages s’embrassent pour ne pas qu’on les remarque. Les personnages se rendent compte que le tueur est parmi eux depuis le début. Lors d’un combat avec le héros, le méchant s’élimine tout seul par maladresse. Métaphore sexuelle à base de trains, tunnels, fusées. Moment d’introspection pendant lequel le protagoniste effectue des ricochets. Moment où les personnages commencent à parler d’une façon progressivement rythmée pour annoncer le fait qu’ils vont chanter car c’est une comédie musicale. Mort d’un personnage juste avant d’avoir pu révéler un secret. On a perdu un enfant on le cherche partout. On arrive dans la salle du méchant qui est un couloir bien symétrique. On demande à une personne d’exercer ses talents pour prouver qu’elle est bien qui elle prétend être. On retire une affaire à un agent qui va quand même continuer à enquêter. Passage à la douane avec une chose cachée en cargaison. "Vous pouvez ouvrir le coffre ?" dit le douanier. Pendant la transformation, on voit uniquement l’ombre du personnage sur le mur. Pendant qu’ils sont au lit, il y a un coup de fil, la femme embête l’homme qui essaye de rester sérieux au téléphone. Plan fixe sur une rue déserte où seule une personne marche au milieu. Plan fixe un peu long d’un paysage calme puis un grand bruit accompagne une action soudaine. Plan sur le réveil qui sonne, plan du personnage qui fait des pompes, plan sur le personnage qui fait ses lacets. Plan sur un chat caressé par le méchant. Quelqu’un a pété dans l’ascenseur, mais on ne sait pas qui. Quelqu’un dit "j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle". Quelqu’un dit un propos déplacé au micro, la salle reste silencieuse et le micro fait un larsen avant ou après le discours. Quelqu’un donne un coup dans un mur de rage et se fait mal. Quelqu’un entre par surprise dans la chambre et surprend un couple s’adonnant à un fétichisme excentrique. Quelqu’un est blessé et dit "Continuez sans moi.". Quelqu’un est caché derrière un objet et émet un bruit involontaire. Quelqu’un joue d’un instrument de musique pas synchro avec le son. Quelqu’un menace à demi-mots un autre. Silence tendu puis finalement la personne dit que c’était une blague. Quelqu’un parle à son reflet dans le miroir. Quelqu’un pète un plomb et casse tout dans la maison. Quelqu’un revient pour reconquérir son ex mais il voit à travers les vitres qu’il a été remplacé. Quelqu’un va poser des fleurs au cimetière. la personne parle au défunt à voix haute. Quelqu’un, qui ne peut pas révéler un secret, dit à la place quelque chose de vague en bafouillant. Rassemblement de soutient type "alcooliques anonymes" en cercle, chacun se présente. Rencontre d’un futur couple dans un lieu public culturel. Révélation sur un personnage apprise parce qu’il passe à la télé dans un bar. Scène à une époque sans eau courante le héros prend son bain en rigolant avec les servantes qui le lavent. Un personnage important arrive, les servantes doivent sortir. Scène d’humiliation sur son lieu de travail d’un personnage en passe d’évolution psychologique. Scène de flashback sur un traumatisme du personnage. Scène où il faut partir en urgence avec un moyen de transport inadapté. Scène qui commence par la fin d’un cours universitaire. Scène violente sous le regard d’un enfant. Scènes de racket "Dis donc, elle est sympa ta veste...". Ton coéquipier sera... "Oh non pas lui !". Travelling sur une rue de banlieue américaine avec musique paisible, les gens se lancent des bonjours de part et d’autre. Travelling vertical sur des chaussures accrochées par les lacets à un fil électrique. Un artiste désargenté regarde la ville de sa fenêtre de l’entre sous-sol où on voit que les pieds des gens. Un chemin en pétales de roses mène au lit conjugal ou à la baignoire. Un compte à rebours jusqu’à explosion est arrêté juste avant zéro. Un couloir avec plein de portes, course-poursuite pendant laquelle on entre par une porte et on ressort par une autre d’un façon qui semble n’avoir aucune logique. Un couple s’apprête à batifoler au lit mais un coup de fil oblige l’un des deux personnages à partir pour une raison obscure. Un des garçons de la famille doit préparer une maquette de volcan, fourmilière ou robot pour son projet de science. Un dîner aux chandelles, la personne ne vient pas, les bougies ont fondu. Un objet utile tombe dans la bouche d’égout et continue son parcours sous-terrain. Un parent passe devant la chambre de son enfant disparu : lumière tamisée, une légère couche de poussière sur les objets personnels qu’il n’a pas osé déplacer depuis l’accident. Un personnage anodin se rend soudain sympathique puis meurt. Un personnage arrive à la réunion un peu après les autres et tout le monde le regarde avec insistance. Un personnage dit "Non !" à genoux, regardant vers le haut, filmé en plongée. Un personnage en attend un autre dans un café en lisant, le spectateur peut lire le titre du livre. Un personnage est livré à un dilemme qui déterminera sa destinée morale. Un personnage habillé bizarrement prend l’ascenseur en essayant d’être discret mais tout le monde le regarde. Un personnage haut placé, vu de dos, regarde à travers une baie vitrée. Un personnage menaçant sort un couteau mais en fait c’est pour couper les liens qui sont autour des mains de l’autre personnage. Un personnage poursuivi tente d’ouvrir une porte mais ne trouve pas la bonne clef et fait tomber le trousseau dans la précipitation. Un personnage regarde un vieux programme à la télé généralement en noir et blanc, possiblement une caricature burlesque de la situation qu’il va vivre. Un personnage se met à saigner du nez. Ça jette un froid. Un personnage se regarde dans la glace dans la salle de bain et se passe de l’eau sur le visage. Parfois, au moment où il se redresse, quelque chose d’effrayant est apparu dans le reflet. Un personnage secondaire dit au personnage principal que l’action que ce dernier s’apprête à effectuer est suicidaire. Le personnage principal effectue l’action sans tenir compte de cette mise en garde. L’action est réussie. Un personnage veut prendre l’ascenseur seul, mais il y a une autre personne qui arrive. Il appuie discrètement sur le bouton pour fermer la porte, mais trop tard, la personne est entrée. Il fait un sourire un peu gêné. Un premier repas avec la belle-famille. Un protagoniste rentre dans sa voiture, il est maintenant hors de danger mais une ou deux personnes se dévoilent sur les sièges arrières. Un protagoniste va faire pipi dans des toilettes communes et entend une conversation qu’il n’aurait pas dû entendre. Un réveil sonne : il est l’heure de se lever. Un soldat se cache derrière une porte, guette le couloir. La caméra révèle qu’un enfant est dans la pièce et qu’il dévisage le soldat. Le soldat lui fait signe de ne pas faire de bruit. Une bataille d’oreillers. Une clef ou une arme est tout juste trop loin pour que le personnage puisse l’atteindre le bras tendu. Une course poursuite qui passe par les cuisines d’un restaurant ou d’un marché et tout est renversé. Une personne applaudit, puis une autre, etc, jusqu’au hourra total. Une personne dit que "non, je ne ferai pas ça". Ensuite il y a une ellipse et on la voit faire la chose. Une personne recherchée passe devant son avis de recherche et dissimule son visage. Une poursuite dans ou sur un train. Victime vue du point de vue du prédateur dissimulé.